Parler aux journalistes dans le cadre d’affaires sensibles : dire sans trahir

Dans les affaires judiciaires ou institutionnelles à forte exposition médiatique, chaque mot devient un enjeu. Entre le devoir d’informer et la nécessité de protéger l’intégrité des procédures, la frontière est souvent ténue. Communiquer ne signifie pas tout dire, mais dire avec justesse — en restant fidèle aux faits et à son rôle.


Dans les affaires judiciaires ou institutionnelles à forte exposition médiatique, chaque mot devient un enjeu. Entre le devoir d’informer et la nécessité de protéger l’intégrité des procédures, la frontière est souvent ténue. Communiquer ne signifie pas tout dire, mais dire avec justesse — en restant fidèle aux faits et à son rôle.

Les pièges sont nombreux :

  • La sur-interprétation d’une phrase sortie de son contexte ;
  • La pression du temps, qui pousse à répondre avant d’avoir réfléchi ;
  • L’émotion du direct, qui altère la neutralité du propos.

Pour éviter ces écueils, la maîtrise du discours repose sur trois leviers essentiels :

  • Un message central, clair et préparé, qui oriente l’échange ;
  • Une posture alignée, à la fois calme et ferme, qui inspire confiance ;
  • Une gestion maîtrisée du silence, qui permet de garder la main sans se justifier.

La préparation fait toute la différence. Elle ne vise pas à dissimuler l’information, mais à préserver la crédibilité de la parole publique. Dans les contextes sensibles — procès, enquêtes, affaires en cours — un discours maîtrisé protège autant la personne qui s’exprime que l’institution qu’elle représente.

Nos formations et coachings en media training vous accompagnent dans cette démarche : apprendre à dire sans trahir, à répondre sans se perdre, et à communiquer avec justesse, quelle que soit la tension du moment.

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